" Sur les ondes ou dans les éditoriaux des experts autorisés, on n'entend et ne lit que "réduction des déficits", "retour à la croissance" avec comme seul but de "rentrer dans les clous de Bruxelles" (ou plutôt que les clous de Bruxelles nous rentrent dedans). Pour 7 Français sur 10, la priorité serait la réduction des déficits publics. Tous les moyens sont bons pour la réduire cette ardoise maudite sans trop s'appesantir sur les raisons de son accumulation autres que celle d'un "Etat qui dépense trop".
Tous les moyens ?
Freiner l’évasion fiscale ? (50 milliards / an) Taper dans les niches fiscales ? (120 milliards / an). Non. La priorité gouvernementale pour résorber notre dette publique de 1900 milliards, c’est bien sûr de fiscaliser les allocations familiales et ses 2,5 milliards de déficits (ou tout au moins de le faire croire, afin de sonder les esprits sur une austérité étendue à d'autres secteurs, école ou santé).
Dans le même temps, les prêcheurs d'austerité insistent sans relâche de Cdansl'air au JT sur la compétitivité (donc le manque de compétitivité) du salarié français, comprendre qu'il doit travailler plus ou être moins payé. Ou les deux. Problème, il n'est pas assez payé et travaille déjà trop. "
Tout est politique - Le blog de Seb Musset: La dette, péché originel pour peuples coupables
Sur les ondes ou dans les éditoriaux des experts autorisés, on n'entend et ne lit que "réduction des déficits", "retour à la croissance" avec comme seul but de "rentrer dans les clous de Bruxe...
http://sebmusset.blogspot.fr/2013/02/Deficit-rigueur-dette.html