Le but de cette petite liste est de conserver tout cela en tête pour y revenir plus tard selon la tournure que prendront les évènements...
1. Le scandale alimentaire qui s'annonce :
" Que se passe-t-il vraiment dans l'univers de la viande industrielle ? Et que nous fait-on manger, de gré ou de force ? Avant d'essayer de répondre, il est bon d'avoir en tête deux études récentes.
La première, publiée en 2011, montre la présence dans le lait - de vache, de chèvre ou d'humain - d'anti-inflammatoires, de bêtabloquants, d'hormones et bien sûr d'antibiotiques. Le lait de vache contient le plus grand nombre de molécules.
La seconde, qui date de 2012, est encore plus saisissante. Une équipe de chercheurs a mis au point une technique de détection des résidus dans l'alimentation, en s'appuyant sur la chromatographie et la spectrométrie de masse.
Analysant des petits pots pour bébés contenant de la viande, ils y ont découvert des antibiotiques destinés aux animaux, comme la tilmicosine ou la spiramycine, mais aussi des antiparasitaires, comme le levamisole, ou encore des fongicides.
Certes à des doses très faibles – en général –, mais, comme on le verra, la question se pose aujourd'hui dans des termes neufs.
On remarquera que, dans le scandale en cours, un mot a presque disparu : phénylbutazone. Cet anti-inflammatoire, on le sait, a été retrouvé dans des carcasses de chevaux exportés vers la France.
UNE FRAUDE ISOLÉE ? "
Voir l'article ci-dessous pour plus d'informations
Le scandale alimentaire qui s'annonce
Que se passe-t-il vraiment dans l'univers de la viande industrielle ? Et que nous fait-on manger, de gré ou de force ? Avant d'essayer de répondre, il est bon d'avoir en tête deux études récen...
2. Le "Basta cosi !" des électeurs italiens :
" Beaucoup le redoutaient : c'est le pire des scénarios qui s'est produit en Italie, au terme des élections générales des 24 et 25 février. C'est inquiétant pour la Péninsule. C'est alarmant pour l'Europe.
Trois choix s'offraient aux électeurs italiens. La poursuite de la cure d'austérité mise en oeuvre depuis quinze mois par Mario Monti, soit sous la houlette du "Professore", soit sous celle du candidat de la coalition de centre gauche emmenée par Pier Luigi Bersani. Le retour en arrière, avec Silvio Berlusconi, parti sous les huées en novembre 2011, mais increvable démagogue, prêt à toutes les promesses pour remonter en scène. Enfin le saut dans l'inconnu, avec Beppe Grillo, ancien comique devenu le porte-voix d'un rejet composite de toutes les élites, politiques, médiatiques et européennes.
Aucun ne s'est imposé, et l'Italie se retrouve ingouvernable. "
Voir l'article ci-dessous pour plus d'informations
Le "Basta cosi !" des électeurs italiens
Éditorial. La crise politique est donc patente. Au-delà d'improbables bricolages immédiats, elle ne peut guère déboucher, à terme, que sur un nouveau scrutin. L'impasse italienne est aussi un...
Viande de cheval : la fraude aurait été gigantesque
Une mission d'information sénatoriale réclame plus de contrôleurs de l'alimentation. Pour dissuader les trafiquants et rendre confiance aux consommateurs, les contrôles devraient être plus ...
Ajout du 23-07-2013